Sûrement beaucoup d'entre vous déjà vous connaissez la méthode de travail Pomodoro qui consiste à effectuer plusieurs périodes de temps et à se reposer d'autres périodes. Pour ce faire, un ustensile de cuisine appelé Pomodoro est généralement utilisé, d'où son nom. Pomodoro est une simple minuterie qui sonne lorsque le temps est écoulé.
Cela peut également être fait avec des applications mobiles, mais cela nous oblige à quitter l'ordinateur pour être distraits par le mobile. Donc c'est Tea Time utile. Tea Time est une application écrite en Python qui nous aidera à contrôler les heures et à créer d'autres types de minuteries personnelles.
Installation de l'heure du thé
L'heure du thé est appelée l'heure de servir le thé, pour laquelle cette minuterie est également utilisée. Dans tous les cas, son fonctionnement est simple. D'une part on marque le temps de la période, on appuie sur «Démarrer la minuterie»Et la fenêtre sera réduite dans le panneau Unity. Lorsque le temps est écoulé une alarme retentit dans Ubuntu qui nous informera que la période est terminée. Comme vous pouvez le voir, c'est simple, tout aussi simple que son installation. Tea Time n'est pas dans les référentiels officiels d'Ubuntu, nous devrons donc ouvrir un terminal et écrire ce qui suit pour l'installation:
sudo add-apt-repository ppa:teatime/ppa sudo apt update && sudo apt install teatime-unity
Après cela, nous aurons déjà l'heure du thé dans notre équipe. Quelque chose que nous reconnaîtrons par sa forme d'oeuf qui ressemble beaucoup à la vraie horloge pomodoro, mais cette fois, ce ne sera que votre icône.
Tea Time est écrit en Python donc c'est un programme très léger qui ne chargera pas notre Ubuntu avec de nombreuses ressources. Il a également besoin de tout ce qu'Ubuntu possède, nous n'aurons donc pas besoin d'avoir des bibliothèques supplémentaires ou d'installer d'autres modules complémentaires pour son fonctionnement. Dans tous les cas, si vous voulez vraiment essayer la technique de travail de Pomodoro sur votre Ubuntu, essayez Tea Time, ça vaut le coup.